dimanche 29 juillet 2012

Baguio & Puerto Galera (Philippines)

Hello !

Ci-dessous de nouvelles photos de notre environnement et de nos escapades !
Je fais court aujourd'hui car je n'ai pas trop d'imagination, mais la prochaine fois, Cédric écrira 100 lignes, ça rattrapera!

Notre lieu de travail, vu d'un autre angle. Ca a l'air super classe n'est-ce pas ? et bien, c'est parce que vous ne voyez pas l'autre partie de la rue, la fameuse rue "Zapote Road", vraiment très sale, qui traverse le quartier pauvre de la "ville".  

Megavideo a fermé ? Pas un problème !


Bébé mignon

Nous et nos amis philippins


Vue depuis le 11ème étage de notre lieu de travail


Idem

Circulation

Il y a un petit moment de cela, nous avons aussi profité d'un de nos week-ends pour se rendre à Puerto Galera, la plage la plus proche de Manille : 3 heures de bus, tout de même, mais ça vaut le détour parce que même si ça n'est pas paradisiaque, ça nous permet de se reposer de l'ambiance ultra polluée de Manille.
Depuis le bateau

Toujours depuis le bateau. C'est plus joli en vrai, mais mon appareil photo n'est pas très fort, donc il fait n'importe quoi.

Enfin, vous trouverez ci-dessous des photos de la ville de Baguio, située dans le nord des Philippines :

Joli djeepney

Jolis djeepneys

Marché (n'aies pas peur maman)


Tam Awan (orthographe approximative, comme à peu près à chaque fois que j'écris) : il s'agit d'un village reconstitué près de Baguio

Toujours le village

Toujours le village

Un peu de végétation

Moi sur la passerelle

Cédric

Toi + moi ?

En robe longue et claquettes dans les montagnes ou comment risquer sa colonne vertébrale

Hutte maritale : les couples n'arrivant pas à avoir d'enfants y sont enfermés pendant un mois et un gentil druide philippin récite des choses pour les aider à procréer. Si au bout d'un mois ça ne fonctionne toujours pas le mari s'en va et trouve une nouvelle femme, puis au bout d'un autre mois c'est la femme qui s'en va à son tour. C'est sympa comme technique, ça permet de déterminer qui est stérile. (l'histoire est un peu changée car je me souviens pas de tout, mais le principe est là)

Sous la maison de bois

Joli djeepney

jolis djeepneys

Le mot de la fin.


Cet article était ma foi, fort intéressant. Rassurez-vous c'est beaucoup plus fun dans la vraie vie ! (à mon avis la partie Baguio ne vous a pas donnez envie, alors que vraiment c'était bien !)

vendredi 27 juillet 2012

N'allez pas croire que nous délaissons le blog, loin s'en faut ! Nous avons même des excuses vraiment top justifiant le manque de renouvellement de notre journal intime du net (et donc plus si intime que ça).
Entrée (en matière)
Déjà sachez que mon ordinateur ne détècte plus un seul réseau internet, ce qui est assez problématique. Oui, celui de Cédric fonctionne, mais, vous l'aurez compris, il n'est pas Baudelaire et vraiment, ça n'est pas trop son truc d'écrire des articles -quelle ironie, quand on sait qu'il fait du community management!
(Le community management c'est un nouveau métier très à la mode, qui consiste à animer des blogs, des pages facebook et tout un tas d'autres trucs, autour d'une marque, d'une entreprise, etc.)

Ensuite, nous n'avons pas réussi à avoir internet à notre domicile pour le moment. Visiblement, nous sommes un des rares endroits du village très mal placé en ce qui concerne le réseau.

Enfin, je peux écrire depuis mon lieu de travail, mais j'ai du boulot et puis surtout on ne peut pas brancher nos appareils photos ! Or vous savez bien qu'écrire un article sans illustration c'est triste !


J'édite mon article ici :

J'ai trouvé le moyen de vous faire partager quelques photos ! YOUPI  !!! :

Nous, au concert de Chinese Man, à Manille

L'électricité à la philippina


Et puis, en prime, les photos de la maison où nous logions en arrivant ici :

L'entrée

Piscine (je n'ai pas réussi à la faire tourner)

Cuisine

Etage

Piscine

Extérieur - billard
Bon, certes la maison où nous habitions avant est certainement plus tentante et autrement plus agréable. MAIS, nous préférons 100 fois notre maison à taille humaine et lumineuse (ce week-end on s'achète une piscine gonflable, youpi bis)

 Et puis, une petite dernière : la vue de notre boulot !

Vue (quelque part vers le milieu, il y a notre maison)


Promis ce week-end on essaye d'en mettre d'autre, d'autant plus qu'on a des choses à vous montrer :). Le week-end dernier notamment nous sommes allés à Baguio, une ville située dans le nord des Philippines, la seule ville d'ailleurs où il fait froid. Quel bonheur de se glisser sous une couette et de pouvoir apprécier un thé bien chaud !

A plus tard !



vendredi 6 juillet 2012

Via quotidienne (Manille, Philippines)

Petit à petit, nous commençons à nous habituer au mode de vie philippino; je dois avouer qu'il nous faut parfois un petit peu de patience, car notre façon de fonctionner est parfois bien différente de la leur. Par exemple, l'habitude très française de traverser n'importe où et n'importe quand, ne peut absolument pas être reproduite ici, sous peine de se faire klaxonner (peine minimum), ou même tout simplement mourir (peine maximum).

La preuve par l'image

Ceci dit, ça n'est surement pas l'exemple le plus parlant, étant donné qu'il est très difficile de trouver un pays autre que la France où les automobilistes laissent tous les droits aux piétons.
Ici, nous avons parfois l'impression que tout fonctionne au ralenti (administration, travail, etc.) ce qui n'est pas un reproche en soit, car je crois bien que cette perception des choses provient de notre éducation française: nous sommes par nature toujours un pressés.

4 Hommes pour 1 chalumeau

Sieste au travail
Je me moque, je me moque, mais bon je viendrais en reparler le jour où je ferai des journées de 20h. Ahhh, nous les français hein... !

Autre chose : les garçons ici regardent énormément les filles blanches. Pas l'habitude d'en voir, curiosité (appelons cela comme nous voulons...), en tout cas, on ne peut pas faire un pas sans se faire regarder. Notez tout de même que le phénomène s'inverse en boite de nuit : grand succès des blancs auprès de ses demoiselles.

Enfin, la chose qui nous a certainement semblé la plus aberrante c'est le fait que dans certains restaurants, si nous ne payons pas ce que nous avons commandé, la somme due sera tout naturellement retirée de la paye de notre... serveuse. Je vous laisse méditer : on est quand même bien en France.

En prime, une photo issue du dernier week end :)

A bientôt !

dimanche 1 juillet 2012

Retour en arrière


Et dire que l'aventure à commencer par de l'auto-stop ! Au total, 3 voitures différentes pour 3 personnalités différentes :

  1. Le premier cherchait en vain sa cavalière, son double, la femme de sa vie. Il a offert un porte-feuille à Cédric à la fin du voyage, tout simplement parce que les deux comparses partegaient le même prénom.
  2. Le deuxième avait l'air plutôt perdu sur la grande route. Je suis montée à l'arrière de sa camionette, pendant que Cédric essayait de déchiffrer son fort accent du côté passager.
  3. Le troisième vit en Inde et était en France pour un court séjour. Il travaille pour l'ambassade française et change régulièrement de pays en compagnie de sa femme. Nous lui avons envoyé quelques mails depuis notre arrivée afin de lui faire partager notre expérience.

Le lendemain, à Paris nous devons avouer qu'on a faillit rater notre avion pour Kuala Lumpur. Nous étions tout simplement en train de prendre un petit déjeuner en pensant que nous avions le temps. Résultat, quand nous sommes arrivés à la porte d'embarquement, ils étaient prêts à fermer les portes.

En prime, des photos que nous n'avions encore pas eu le temps de mettre sur notre blog ;)

Drapeau Malaisien

Moyen de locomotion à Melaka


Cédric avait bien postulé, mais on lui a rapidement dit qu'il ne faisait pas l'affaire. D'où notre arrivée à aujourdhui.com

Melaka


Notre hôte a insisté pour nous prendre en photo avec ce ravissant "objet"


Le match de volley durant lequel la montre de Maude a bien faillit perdre la vie

Fabrication en carton : les Chinois font bruler ces fabrications sur la tombe deleurs morts, les objets parviendraient donc immédiatement aux êtres aimés

Sous-vêtements (fabrication papier)